La transition numérique,
pour assurer le développement et la pérennité des
entreprises
La crise sanitaire a
poussé bon nombre d’entreprises à revoir leur
fonctionnement en prenant un véritable virage
digital. Pour mieux comprendre cette transition
numérique, nous avons interviewé Mr Nandegeza
Jacques MUSAFIRI, fondateur des sociétés
MTSI International Consulting basée à Paris la
Défense et e-COM SAS basée à Kinshasa.
L’Hebdo des PME
Nandegeza Musafiri (MTSI
International Consulting) : MTSI International
Consulting est une société de conseil en management
des organisatons et systèmes d'information - 27
février 2021
e-com SAS, votre partenaire en
solution de paiement electronique et de numerisation
Ce mercredi 3 octobre 2018 à Genève pour présenter
le projet de dématérialisation des processus du
ministère du Tourisme de la RD Congo qui a permis
d'augmenter les recettes de 450%.
Un exemple de PPP entre Equity Bank Congo représenté
par son DG, e-COM SAS par son président et le
ministère du Tourisme par son ministre au forum de
l'OMC.
Entretien de l'hebdomadaire Jeunes Afrique
du 12 août 2018, avec le président de la
société e-COM SAS, monsieur Nandegeza Jacques
MUSAFIRI.
La société e-COM SAS adresse tout type d’entreprise
depuis les commerces indépendants jusqu’aux grandes
entreprises internationales requérant des solutions
de paiement multicanal, ainsi que les services
publics des Etats ayant décidé de relever le défi de
la simplification de l’administration publique en
utilisant comme levier d’innovation, les NTIC.
Pour faire évoluer les
comportements de paiement, nous aidons nos clients à
proposer des solutions et service de paiement en
ligne, fiables et hautement sécurisées, mieux
adaptées aux nouveaux modes de consommation et avec
de services à valeur ajoutée, ainsi que des outils
innovants pour les gérer.
Nous offrons un ensemble
de solutions & services packagées ou sur mesure,
construites avec le client et répondant à son cahier
des charges. Nous les conseillons, dans leur
stratégie d’innovation afin de mettre en valeur leur
métier et leur permettre de maintenir leur avantage
compétitif.
Un article sur Nandegeza Jacques MUSAFIRI et ses
activités en Europe et en Afrique dans le
Journal Jeune Afrique du 4 au 10 septembre 2016
Vous le trouverez dans le dossier « le plus de
Jeune Afrique » consacré à l’Afrique Centrale en
page 66.
Dans cet article, Jeune Afrique a succinctement
abordé les 3 activités (Les NTIC, l’Energie et les
Infrastructures) que nous menons de front, au sein
de nos trois entités :
Nandegeza Jacques MUSAFIRI,
Président de MTSI International Consulting
1. La société MTSI International Consulting
qui intervient au sein des organisations en tant que
conseil dans la résolution des problématiques
stratégiques, organisationnelles et techniques. Ses
métiers couvrent l’ensemble des services dédiés à la
transformation de l’organisation et au développement
de la performance.
Avec MTSI International Consulting, nous
accompagnons des organisations privées et publiques
autour des domaines de compétences suivants :
√ Le conseil en organisation;
√ Le conseil en système d’information;
√ L’Assistance à la Maitrise d’Ouvrage (AMOA);
√ L’accompagnement au développement international.
Nous proposons à nos clients une approche globale,
du conseil stratégique à la mise en œuvre
opérationnelle.
De Paris à Kinshasa, nous leurs faisons bénéficier
d’une expertise et d’une assistance de proximité en
prise directe avec leurs enjeux et leurs
contraintes.
2. La Société e-COM SAS qui a pour objet
l’exercice tant en République Démocratique du Congo
(RDC) qu’à l’Etranger, des activités portant sur :
√ L’exploitation d’une plateforme multicanal et
multifonction de paiement et de services ;
√ Le conseil et services en monétique et en
Transactions Electroniques Sécurisées (TES) ;
√ La création et l’intégration des applications
spécialisées offrant des solutions au commerce
électronique (e-commerce) et au gouvernement
électronique (e-gouvernement) ;
√ La mise à disposition et l’intégration de
solutions dédiées à la gestion des titres sécurisés
et des systèmes d’identification (cartes d’identité
électroniques, permis de conduire électroniques,
carte santé, etc.), ainsi que des flux
dématérialisés (télépaiement de taxes et impôts,
télé-procédures, etc.) au service des citoyens.
Nous apportons aux entreprises requérant des
solutions de paiement multicanal, ainsi qu’aux
services publics de l'Etats ayant décidé de relever
le défi de la simplification de l’administration en
utilisant comme levier d’innovation les NTIC, un
environnement hautement sécurisé pour acheminer les
paiements électroniques en RDC et des outils
innovants pour les gérer.
Nous leurs proposons d’intégrer le paiement
électronique par carte bancaire sur leurs sites Web,
en interaction avec le système interbancaire de
paiement électronique en RDC.
3. La Société AFRICAN ALLIANCE ENERGY SAS qui
a pour objet l’exercice en Afrique, des activités
portant sur les industries et les services de la
production d’énergie renouvelable en collaboration
avec des partenaires ayant une expertise
industrielle dans le secteur de l’énergie comme
MECAMIDI et GREENSAILS ainsi qu’avec ceux du secteur
financier (fonds, Banque etc.) avec lesquels AAE SAS
peut nouer de partenariat gagnant-gagnant sous forme
de joint-venture, consortium ou des contrats de
prêts dans :
√ La production, le transport, la distribution et la
vente de l'énergie électrique sous toutes ses formes
;
√ La fourniture des services innovants : L’apport
des solutions flexibles pour la fourniture et la
maintenance des centrales électriques, pour
elle-même ou pour des tiers, à base des énergies
primaires d’origines renouvelables (énergie solaire,
énergie éolienne, énergie hydroélectrique, la
biomasse, la géothermie etc.);
√ Le conseil dans le montage et la réalisation de
projets : l’accompagnement des sociétés porteuses de
projets dans l’identification, le financement et la
réalisation des centrales électriques à base des
énergies primaires d’origines renouvelables;
√ La coordination de la sous-traitance pour le
compte des sociétés de projets dans lesquelles, AAE
SAS en qualité de société mère détiendra
suffisamment de droits de vote en assemblée générale
d'actionnaires pour pouvoir y imposer cette
décision. Elle se positionnera donc comme « tête de
groupe » d’un « Groupement d’entreprise » spécialisé
dans la production, le transport, la distribution et
la vente d’énergie.
En véritable accélérateurs d’opportunités, MTSI
International Consulting, e-COM SAS et AFRICAN
ALLIANCE ENERGY SAS se donnent pour missions
d’accompagner l’innovation et le développement de
l’économie numérique et le Partenariat
transformateur pour les infrastructures de base et
pour l’énergie renouvelable (Eolienne1, solaire2,
hydro-électrique3, bio-masse4 etc.) en Afrique.
Nandegeza Jacques MUSAFIRI Président
« Enjeux politiques
et géopolitiques de la COP22 » Jeudi 21 avril 2016
Le 21 avril 2016, la
Société d’Encouragement pour l’industrie a accueilli
une conférence sur les « Enjeux politiques et
géopolitiques de la COP22 » à l’initiative de
l’association « Maroc Devoirs & Droits » organisée
avec le soutien de l’Ambassade du Royaume du Maroc
et de la Société d’Encouragement pour l’industrie
nationale en France.
Nandegeza MUSAFIRI,
président de MTSI International Consulting,
représentant de
« African Alliance Energy » à la conférence sur les
« Enjeux politiques et géopolitiques de la COP22 ».
A gauche, Son Excellence
Chakib Benmoussa, Ambassadeur du Royaume du Maroc en
France.
A droite, le secrétaire d’état Français de la
Vincent Placé, Secrétaire d'Etat chargé de la
réforme de l'Etat et de la simplification.
La COP21 organisée à Paris en 2015 s’était terminée
par « l’Accord de Paris », une série d’annonces
visant à engager la communauté internationale sur
une trajectoire ambitieuse :
Limitation du
réchauffement climatique à 2° d’ici la fin du
siècle ;
Soutien
financier en faveur des pays de l’hémisphère du
sud ;
Evaluation et
communication régulière des résultats obtenus
par chaque Nation ;
Pour les dirigeants
du Royaume du Maroc, si la COP 21 a été l’occasion «
des décisions », la COP 22 sera « la conférence
de l’action ».
Panel de la conférence
J’ai été invité à
cette conférence pour intervenir en tant que
représentant de « AFRICAN ALLIANCE ENERGY » qui se
positionne sur le marché Africain comme l’un des
acteurs du conseil et services, capable de mettre
sur pied des Partenariats transformateurs à
l’échelle du continent africain, avec des modes de
financement innovateurs au profit du secteur
énergétique africain en collaboration avec des
partenaires spécialisés dans le secteur de
l’Environnement et des énergies renouvelables.
L’Afrique n’est pas à la base du problème du
dérèglement climatique, mais elle peut faire partie
de la solution. Pour cela, elle avait besoin d’un
nouveau pacte pour l’énergie, une initiative
africaine visant à mobiliser la volonté politique et
un soutien financier pour résoudre les défis
énergétiques de l’Afrique.
Monsieur Akinwumi Adesina, le président de la
BAD a déclaré au début de cette année que le
“Nouveau Pacte pour l’énergie en Afrique” fixe
l’objectif ambitieux d’un accès universel à des
services énergétiques en Afrique d’ici 2025, ce qui
signifie qu’il nous faudra fournir une énergie
moderne à 900 millions de personnes en Afrique
subsaharienne afin de couvrir les besoins de celles
qui n’y ont pas encore accès, mais également de
faire face à la croissance démographique prévue.
La vision d’AFRICAN ALLIANCE ENERGY est de
s’inscrire dans cette démarche initiée par le
président de la BAD qui met l’accent sur trois
points :
«
Électricité » L’indisponibilité de l’énergie
en Afrique est inacceptable, de même que son
coût. Le Nouveau Pacte pour l’énergie en Afrique
est une initiative transformatrice reposant sur
un partenariat qui aspire à garantir l’accès de
tous à des services énergétiques en Afrique
d’ici 2025.
« Potentiel
» En plus de 700 gigawatts d’énergie
potentielle provenant des énergies fossiles,
l’Afrique souhaite tirer aussi parti des 10
térawatts d’énergie solaire potentielle, des 350
gigawatts d’hydroélectricité, des 110 gigawatts
d’énergie éolienne ainsi que des 15 gigawatts
d’énergie géothermique.
«
Partenariat », parce qu’aucun pays, aucune
organisation, ni aucune initiative ne peut y
parvenir seul. Le secteur privé constitue une
source de leadership et de financement.
L’Afrique deviendra
la destination prioritaire des investissements à
l’international des sociétés européennes de
distribution et de biens de consommation d’ici à
2017 - Neuilly-sur-Seine, vendredi 19 juin 2015
Lors de la Journée nationale des diasporas
africaines, les 24 et 25 avril 2015 à Bordeaux, les
entrepreneurs de la métropole bordelaise
rencontreront leurs confrères des diasporas ainsi
que des entrepreneurs venus spécialement du
continent africain.
Avec Alain Juppé (Maire de
Bordeaux, ancien premier ministre de France et futur
candidat à la présidentielle de 2017 en France)..
Le cabinet
international se tourne vers le continent pour
échapper à la crise qui sévit en Occident. En
jouant des spécificités de chaque région, mais
avec une vision globale, précise le patron
australien.
L’Australien
Michael J. Andrew dirige KPMG depuis dix-huit
mois. Installé à Hong Kong, ce fiscaliste de
formation est l’un des premiers patrons des
« big four », les quatre plus grands cabinets
d’expertise comptable et d’audit, à être basé
hors des États-Unis.
De passage à
Lagos, il a livré à Jeune Afrique quelques
éléments sur l’implantation de KPMG sur les
marchés à fort taux de croissance. Notamment le
continent, où le cabinet emploie 6569
professionnels et a réalisé l’année dernière 416
millions d’euros de chiffre d’affaires. Objectif:
mettre en œuvre une stratégie globale, allant de
l’audit au conseil.
Jeudi, 03 Janvier 2013 09:47 Par Radhi Meddeb,
président fondateur de l'association Action et
développement solidaire
L’Afrique a fait
figure d’absent de l’Histoire pendant les quarante
premières années de ses indépendances. Depuis 2005,
elle renoue avec une croissance forte. Elle est
aujourd’hui l’une des trois régions les plus
dynamiques de la planète et le retour sur
investissement y est globalement le plus élevé. Le
XXIème siècle sera africain, au-moins en partie.
Les progrès de
l’Afrique sont spectaculaires. D’après le FMI, le
PIB des 48 pays subsahariens aura cru en moyenne
entre 5 et 7 % l’an depuis 2003. Sur la dernière
décennie, six des 10 économies où la croissance aura
été la plus élevée dans le monde sont africains et
en 2012, cinq pays africains auront fait mieux que
la Chine et 21 mieux que l’Inde !
Malgré les crises internes et externes, l'Afrique
démontrera en 2013 encore sa capacité de résistance.
Mais de là à devenir une locomotive mondiale, il y a
un pas que seule l'accélération des réformes
permettra de franchir.